L'EMPIRE du Royal-Dragons

Le matin du 19 Novembre, les émeutiers partent chercher des armes. Dans une atmosphère révolutionnaire, ils pillent l'arsenal où ils trouvent des armes et des canons mais pas de poudre. Ils arrivent ensuite aux portes de la prison royale pour chercher de la poudre et y retrouvent d'autres émeutiers massés devant la forteresse du Faubourg depuis le matin. L'effervescence grandit. Le Roy, informé de la situation par son fidèle Duc, ordonne que les régiments du Royal-Dragons se positionnent dans les rues de la capitale.
Le gouverneur de la prison veut résister mais à la demande de médiateurs, il rédige à la hâte un papier par lequel il accepte la reddition de la forteresse en échange de la promesse qu'il ne sera fait aucun mal à la garnison. Il laisse la foule pénétrer dans la première cour. Puis il se ravise et fait tirer à la mitraille : il y a des morts. Des gardes français mutinées amènent alors des canons devant la prison: le gouverneur cède et abaisse les ponts-levis. Il est 1 heure de l'après-midi.

Les vainqueurs de la prison royale se dirigent alors vers l'Hôtel de Ville avec leurs prisonniers. En chemin, le gouverneur est rué de coups, massacré à coups de sabre, décapité et sa tête mise au bout d'une pique. Alors que les émeutiers se dirigent vers l’Hôtel de ville, résidence du Roy, celui-ci fait donner l’ordre aux troupes du Royal-Dragons en position dans la capitale d’empêcher le peuple d’accéder à l'Hôtel de Ville. Les régiments des colonels De Suchet, De Citrachu et De Murat, sous les ordres du général en chef De Nansouty et du général de brigade De Rocroy, prennent position. Rapidement la foule se retrouve face aux troupes des régiments et établit des barricades. Des injonctions fusent. « A bas le tyran, l’armée avec nous ». C’est à 3 heures de l’après-midi que le général en chef De Nansouty reçoit par une estafette du Duc un ordre du Roy ordonnant d’ouvrir le feu sur la populace et de reprendre le contrôle de la capitale.

Le général en chef fait venir autour de lui ses officiers. Celui-ci, respecté de ses hommes et du peuple pour avoir tant de fois mené ses troupes au combat et apporté gloire et prestige sur le pays, tint conseil avec eux. Puis il prend quelques minutes pour réfléchir. Il s’exprime devant tous: « Comment pourrais-je faire tirer sur mon propre peuple ? Quel homme ordonnerait cela ? ». Après quelques instants de doute, De Nansouty déclare : « Quand on doit faire les choses, la bonne date, c'est toujours maintenant». Puis, se tournant vers l’estafette du Duc : « Allez dire à vos maître que nous sommes ici par la puissance du peuple et qu’on ne nous en arrachera que par la puissance des baïonnettes ». Le messager s’empresse de venir faire son rapport. Le Duc vient en informer le Roy. Celui-ci lui demande : « Mais, c'est une révolte ? » ; et le Duc de répondre au Roy, de manière visionnaire : « Non Sire, c'est une révolution ! ».

Les officiers du Royal-Dragons ordonnent alors à leurs troupes de se joindre au peuple, et tous marchent sur l’Hôtel de ville. Le bâtiment est défendu par une nombreuse troupe de garde royale ainsi qu’une batterie d’artillerie de la garde, mais faisant fi de cela le Royal-Dragons se lance à l’assaut. Des volées massives de balles reçoivent les plus hardis des émeutiers et les Dragons. Le 2ème régiment du Royal-Dragons, à la pointe de l’assaut, comptent de nombreuse pertes dans ses rangs dans cette charge féroce ainsi que de nombreux blessés, dont le major De Oudinot qui est blessé par balle à un testicule et le lieutenant Condé, dont l’œil est amoché alors que les hommes sous son commandement s’arrêtent pour effectuer un tir de peloton. Le corps à corps qui s’ensuit est terrible. Le capitaine Morand qui a chargé sur le flanc sans attendre le gros de son régiment est mis à terre et reçoit un coup baïonnette dans l’arrière train. Le major De Arkalius du 1er régiment et le capitaine De Saxe, du 3ème manquent de se faire écraser par un obus. En effet, un combat d’artillerie fait rage entre une batterie d’artillerie de 24 livres commandée par le lieutenant De Bruniquel et l’artillerie de la garde fidèle au Roy. Ce lieutenant, bien que courageux, sait pourtant qu’il a bien peu de chance de vaincre les canons adverses. Finalement la charge à la baïonnette des troupes des lieutenants De Dreyfus et De Lannes emporte la décision, alors que l’officier du régiment royal est tué par un coup de sabre du major du 3ème régiment De Gahara. La garde royale vaincue, le capitaine De Duynkercke est le premier à rentrer dans l’Hôtel de ville, suivi de près par les sous officiers, les soldats et les enfants de troupes survivants du Royal-Dragons.

La foule envahit l’édifice, lequel est pillé, le Duc est lynché par la populace et le Roy fait prisonnier. Le peuple et le Royal-Dragons, ivres d’excitation et de jouissance, emmènent alors leur détenu parader dans les rues de la capitale. En chemin, bien que protégé par les troupes du général de brigade De Rocroy, le captif est roué de coups par la populace, puis massacré à coups de sabre, décapité et sa tête mise au bout d'une pique. Le Roy est mort !

Des cris s’élèvent alors de la foule : « Proclamons l’Empire». Puis : « Vive l’Empereur, vive Nansouty ». Le colonel du 2ème régiment, De Citrachu, crie : « Soldats, venez vous ranger sous les drapeaux de votre Empereur. La victoire marchera au pas de charge ; le Royal-Dragons, avec les couleurs nationales, volera de clocher en clocher. Alors vous pourrez montrer avec honneur vos cicatrices. Alors vous pourrez vous vanter de ce que vous avez fait. Vous serez les libérateurs de la patrie ». A ces propos, conscient du plébiscite général et de la tâche qui lui incombera désormais, le nouvel Empereur Nansouty 1er répond : « La modestie doit être la réaction naturelle de l'homme qui reçoit les acclamations que lui ont valu le sang versé par ses subordonnés et le sacrifice de ses amis».

Il est 6 heure du soir. Attaché au nom de son clan, et conscient de la confiance que tous les hommes du Royal-Dragons ont envers leur nouvel Empereur, le colonel du 2ème régiment s’écrie alors : « Nous annulerons tous les accords passés par feu le Roy. Notre Nation n’est plus un royaume, c’est un Empire ! ». Puis :

« VIVE L’EMPIRE DU ROYAL-DRAGONS, VIVE L’EMPEREUR NANSOUTY 1er » !

VIVE NANSOUTY 1ER ! VIVE L4EMPIRE DU ROYAL DRAGON !

belle histoire De CItrachu, good job.

Je suis pour l' Empire .

VIVE LA FRANCE!! VIVE L EMPEREUR!!! VIVE NANSOUTY !!! VIVE LES ROYAL DRAGONS!!!! VIVE NOUS!!! VIVE VOUS!!! VIVE MOI .

je lève mon verre bien haut et m incline bien bas devant 1000 ans de règne.

ma version préférer https://www.youtube.com/watch?v=4K1q9Ntcr5g

Vive NANSOUTY 1er.....
Vive l'Empereur.........
Vive l'EMPIRE......

Nos batailles prennent un nouveau sens.

et nous sommes fiers de rentrer dans cette nouvelle ère...


PS : quand je raconterai à ma descendance que j'ai connu ces gens si valeureux....

PSS : et bravo a toi Cit..

« VIVE L’EMPIRE DU ROYAL-DRAGONS, VIVE L’EMPEREUR NANSOUTY 1er » !

on ne decevra point l'empire

On pourra faire un coup d'état après ? ^^


Vive L'empire ! Vive de Nansouty ! ( après c'est mon tour !)

Vive l'Empereur!!



Pour l'EMPIRE!!!





(ca va ca fait pas un peut trop star wars? )

VIVE L'EMPEREUR!
J'espere qu'il se souviendras que je lui est donné mon testicule!

VIVE L'EMPEREUR! VIVE NANSOUTY 1ER!

VIVE LES DRAGONS!


Là ou il y a l'union, il y a la victoire!

le roy est mort , vive l'empereur!!!!!

sire je suis fier de placer le 1er régiment sous vos ordres

Vive l'empereur ! Vive l'empire !
et retrouvons vite le testicule de Oudinot.

le testicule d Oudinot est a vendre sur ebay.... preums

Brillant cet homme est brillant. Félicitations !

Oudinot ou la testicule qui est brillante ?

L'Empire est né du sang des braves, l'Empereur et ses sujets sauront s'en rappeler pour ne pas reproduire les erreurs commises par le passé.

Levons nos verres à la fin du joug royal, à l'Empire, aux Dragons victorieux et disparus, à l'EMPEREUR !!!!

Nommons ce jour la révolte du Beaujolais Nouveau !

Pour etre tout a fait honnete, oudinot n'a pas perdu ladite couille, il y a juste un morceau qui est partit.
Et j'ai passe sous silence un fait peu glorieux, la bastos que notre Empereur a prit dans les fesses.
Et oui, il en a bien 2...

une question de beau matin. si nous sommes un empire doit on changer aussi le nom du clan ex: l IMPÉRIAL Dragons....????

NANSOUTY 1er EMPEREUR ( rien que le nom m'amuse ).


MARECHAL D'EMPIRE DE ROCROY


Levons nos verres à la fin du joug royal, à l'Empire

Murat je trinque avec toi ( sa fait deux jours qu on trinque non stop jsuis beurré) je nai pas la résistance de Villeneuve ;)

Même si on est en Empire et plus sous le joug d'un Roi, le Royal Dragon est et doit rester Royal.

Apparemment vous avez décidé de zigouiller notre bon vieux Roi...

Voilà qui est bien triste pour lui, mais très alléchant pour moi!

Merci pour votre confiance mes braves, j'aurai pensé ne jamais accepté un tel statut...(sinon je me serai nommé Roi dés le départ)...mais devant tant d'enthousiasme, que faire?

Vive l'Empire, Vive les futurs Maréchaux, Vive Moi^^!!
Rocroy, où sont mon sceptre et ma couronne??
Voilà un problème auquel il va falloir remédier!!

Sinon auriez-vous penser aux changements que vont engendrer ce coup d'Etat??
Ce qui est sûr:
- C'est que pour le nom, nous resterons Le Royal-Dragons.
- La vieille garde va être créée, les membres qui y accéderont seront les Maréchaux d'Empire.

Rocroy tu vas avoir un peu de boulot je crois...

dieu a parler. vive lui

Il n'y aurait pas un pseudo a changer, De Nansouty en Nansouty 1er, par hasard?