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| Bataille terrestre d' ABOUKIR | |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Bataille terrestre d' ABOUKIR Jeu 13 Jan - 11:52 | |
| [img] [/img][img] [/img] Napoléon Bonaparte a échoué dans sa tentative du siège de Saint-Jean-d'Acre. Pleins de rêves et d'ambitions (il aurait souhaité devenir Empereur d'Orient), il doit revenir à la triste réalité, et battre en retraite. Et l'opposition renaît, comme un mal incurable qui s'empare du corps de son armée ; et ce virus à un nom : l'Angleterre. Elle est toujours derrière les mauvais coups, et pousse les sultans de la région à prendre les armes. Malheureusement pour eux, les chefs arabes n'ont pas oublié la défaite du Mont Thabor (entre autres...) de leur égal et néanmoins adversaire, le pacha de Damas. Jusqu'à preuves du contraire, ils n'ont pas perdu la tête, et se contentent de jouer un rôle pacifiquement neutre. Mais c'est le pacha de Damas lui-même qui veut reprendre le combat. La haine qu 'ils vouent maintenant pour les français est incalculable, et il comptent chasser ces "infidèles" et mener à bien cette véritable croisade arabe... Une flotte immense, anglaise bien sûr (il n'y a plus qu'eux dans le secteur), se ruent sur la presqu'île d'Aboukir, tenu par une petite garnison de trois cents hommes dirigés par le chef de bataillon Godart. Ce n'est pas moins de 15 000 hommes qui débarquent sur la plage et attaquent le pauvre bataillon oublié. Oublié, en effet, car Napoléon est présent mais ne bouge pas ! Il envoie trois cents autres hommes en soutien (pour faire bonnes figures devant des officiers atterrés de tant de calme devant une boucherie pareille), commandés par Marmont, qui se font battre à plat de coutures. N'oublions pas que ces hommes ont vécu un véritable martyr, se battant à un contre soixante. Les bateaux anglais, toujours dirigés d'une main de maître par l'infatigable Nelson, pilonne les positions françaises. Napoléon est cerné de toutes parts, et envoie des petits ordres inutiles qui ne changent rien à la situation. Bientôt, la presqu'île a changé de camp, les étendards turcs flottant sur les bastions pris aux français. Napoléon a envoyé ses ordres partout en Egypte pour rapatrier le plus de troupes possibles. Quand le gros de l'armée d'Egypte est là, il met en place son plan d'attaque : il place Lannes à sa droite, Kléber au centre, Desaix et Murat à gauche, et Davout derrière, en réserve. L'attaque est lancée le 25 juillet, à midi. Il place son artillerie et repousse les navires anglais de Nelson. L’appui naval des Turcs du Pacha est détruit, et Bonaparte peut se préparer en toute tranquillité à refouler les Turcs. Mais leur résistance est inattendue, farouche à souhait. Desaix piétine, Murat n'ose pas trop charger, vu la mitraille qui s'abat au-dessus de sa tête. Puis survient un événement totalement loufoque, dramatique surtout, mais qui va provoquer un véritable déclic dans l'armée d'Egypte. Quand Desaix est revenu plus près de Napoléon pour attendre d'autres directives, le pacha sort avec ces hommes et coupe les têtes des soldats français, morts ou vifs ! Une haine, que dis-je, une rage s’empare des français, qui, sans ordre, se ruent vers les bastions et les prennent à la baïonnette. Les cavaliers de Murat ne peuvent plus se retenir et chargent sans aucune crainte les hommes du Pacha. Mais le dernier fort, complètement au bout de la bande de terre, résiste farouchement et Lannes butte. Mais l’œil du cavalier l'emporte sur les yeux de l'artilleur, et Murat trouve la faille, suivi de tous ces cavaliers. Il sabre tout ce qui bouge. Il parvient devant le pacha de Damas et lui coupe trois doigts, et lui lance : "Si tu refais ça à mes soldats, je te le jure par Allah, je te couperai d'autres choses plus importantes..." (nous vous laissons le soin de devinez de quoi il s'agit). Le pacha ne recommencera pas, car on ne se figure pas comme il est difficile d'écrire une lettre de rassemblement général avec deux doigts ! La bataille terrestre d'Aboukir est éclatante, et finit une campagne d'Egypte déjà épatante par une apothéose. Bonaparte a confirmé ses talents de stratège, mais il apparaît aussi qu'il suffit d'un choc émotionnel de son armée pour soudain avoir l'impression qu'elle double de volume... |
| | | De Murat Officier de combat
Carnet militaire. Affecté : Etat-major
| Sujet: Re: Bataille terrestre d' ABOUKIR Jeu 13 Jan - 17:25 | |
| je me suis régaler! | |
| | | De Murat Officier de combat
Carnet militaire. Affecté : Etat-major
| Sujet: Re: Bataille terrestre d' ABOUKIR Jeu 13 Jan - 17:37 | |
| Mont Thabor France: 30000 hommes - 15 canons sous Bonaparte, Masséna, Augereau, Kilmaine Fiorella Turcs Syriens 30000 à 35000 hommes environ - Sous le commandant de Abdallah Pacha Historique De La Situation Bonaparte assiège toujours Saint Jean d'Acre, mais la citadelle résiste toujours, malgré les nombreux assauts des forces Françaises. L'adversaire quant à lui se renforce de jours en jours. Ces renforts sont directement amenés sur place par le Commodore Anglais, qui s'active ardemment pour faire échouer toute initiative de Bonaparte. Ce dernier est pour l'instant bloqué et à peu d'espoir de faire tomber la vieille citadelle car il n'a pu que recevoir que 16 grosses pièces d'artillerie amenés par le brave Pérrée, mais le nombre est très insuffisant. En plus les munitions commencent cruellement à manquer. Les soldats français sont obligés de récupérer les boulets tirés par l'adversaire. En plus la peste sévit toujours dans le camp Français. Donc la situation devient de plus en plus critique et pour couronner le tout, les Druses ainsi que les chrétiens l'avertissent qu'une armée de 30000 à 35000 Turcs et Arabes sont en marchent sous le commandement du pacha de Damas, pour venir au secours d'Acre et prendre les assiégeants entre deux feux. Bonaparte se doit de réagir vite pour éviter un désastre. Bataille De Nazareth Le commandant du château de Saffet prévient que quelques corps de troupes ont passé le pont de Jacoub sur le Jourdain le 4 avril 1799. L'officier qui commande les avant-postes de Nazareth, annonce de son côté qu'une autre colonne a passé le pont dit Djesr-el-Mekanié et se trouve déjà à Tabarié; que les Arabes se montrent au débouché des montagnes de Naplouze, que Genin et Tabarié reçoivent des approvisionnements considérables. Le général de brigade Junot avait été envoyé à Nazareth pour observer l'ennemi. Il apprend qu'il se forme sur les hauteurs de Loubi, à quatre lieues de Nazareth, dans la direction de Tabarié, un rassemblement dont les partis se montrent dans le village de Loubi. Il se met en marche avec une partie de la 2e légère, trois compagnies de la 19e, formant environ trois cent cinquante hommes et un détachement de cent soixante chevaux de différents corps, pour faire une reconnaissance. A peu de distance de Ghafar-Kana, il aperçoit l'ennemi sur la crète des hauteurs de Loubi. Il continue sa route, tourne la montagne et se trouve engagé dans une plaine où il est environné, assailli par trois mille hommes de cavalerie. Les plus braves se précipitent sur lui; il ne prend alors conseil que des circoncantes de son courage. Les soldats se montrent digne d'un chef aussi intrépide, et forcent l'ennemi d'abandonner cinq drapeaux dans leurs rangs. Le général Junot, sans cesser de combattre, sans se laisser entamer, gagne successivement les hauteurs jusqu'à Nazareth. Il est suivi jusqu'à Ghafar-Kana, à deux lieues du champ de bataille. Cette joumée coûte à l'ennemi, outre les cinq drapeaux, cinq à six cents hommes tant tués que blessés. On ne peut donnert trop d'éloges au courage et au sang-froid qu'a déployés lé chef de brigade Duvivier dans cette affaire. Bonaparte, à la nouvelle du combat de Loubi, donne ordre au général Kléber de partir du camp d'Acre avec le reste de l'avant-garde pour rejoindre le général Junot à Nazareth. (1) On peut largement se poser la question de savoir pourquoi les forces ennemis agissant sous le commandement de Abdallah Pacha, ne vont ils pas directement attaquer les assiègeant d'Acre et les prendre ainsi entre deux feux afin de multiplier leur chance de réussite. Le commandement arabe pense à juste titre qu'ils ont peu de chance dans un affront direct avec toutes les forces que disposent Bonaparte. En conséquence il préfère poursuivre un but indirect, diviser les forces Françaises, attaquer les divisions isolées qui seront arrasées par de longues marches et sans possibilité de ravitaillement. La division des forces adverses, permettra aussi d'alléger le siège d'Acre et de donner aussi un avantage certain aux assiègés lors d'une tentative de sortie car ils finiront bien par être plus nombreux que les assiègeants. Bonaparte en grand stratège, devinera rapidement le plan de son adversaire et recherchera la bataille décisive afin de le détruire d'un seul coup. [img] [/img] Kléber bivouaque le 20 germinal à Bedaouïé, près Safarié et se rend le lendemain à Nazareth pour y prendre des vivres. Informé que l'ennemi n'a point quitté la position de Loubi, il prend la résolution de marcher à lui et de l'attaquer le lendemain 22 germinal 1799. Il était à peine à la hauteur de Ledjarra à un quart de lieue de Loubi et à une lieue et demie de Kana, que l'ennemi, descendant des hauteurs, débouche dans la plaine. Le général Kléber est aussitôt enveloppé par quatre mille hommes de cavalerie et cinq ou six cents d'infanterie, qui se mettent en devoir de le charger. Ils les prévient, attaque à la fois l'infanterie et la cavalerie et le camp de Ledjarra, qu'il emporte. L'ennemi abandonne le champ de bataille et se retire en désordre vers le Jourdain, où il aurait été poursuivi, si la division n'eût été dépourvue de cartouches. Les troupes rentrent dans la position de Salarié et de Nazareth. Après l'affaire de Ledarra ou Kana, l'ennemi se retire, partie sur Tabarié, partie sur le pont de El-Melanié et partie sur le Baïzard. Ce dernier point devient le rendez-vous d'un rassemblement général, d'où, le 25 germinal, toute l'armée ennemie se rend dans la plaine de Fouli, anciennement dite d'Esdrelon; elle y opère sa jonction avec les Samaritains ou Naplouzains. Cette armée pouvait se monter, d'après les rapports du général Kléber, à quinze on dix-huit mille hommes environ; les récits exagérés des habitants du pays la portaient à quarante ou cinquante mille hommes. Kléber annonce en mème temps qu'il part pour l'attaquer. Bonaparte est de plus informé par le capitaine Simon, commandant de Saffet, que le 24 les ennemis se sont présentés, qu'ils ont dévasté les environs, qu'il s'est retiré avec son détachement dans le fort, où il a été attaqué, que les assiégeants ont tenté l'escalade, qu'ils ont été repoussés avec une grande perte, mais qu'il se trouve bloqué avec peu de vivres et de munitions. Le capitaine Simon s'était conduit, dans cette occasion, avec autant de talent que de bravoure. Le citoyen Tedesio, employé dans l'administration, qui était fort bien monté et se trouvait en outre le seul du détachement qui eût un cheval, ayant été reconnaître l'ennemi avec quelques Mutualis, fut. malheureusement atteint par une blessure mortelle. Bonaparte juge qu'il faut une bataille générale. [img] [/img] Bataille Du Mont Thabor Bonaparte veut une bataille décisive pour éloigner l'adversaire, qui, avec l'avantage du nombre, viendrait le harceler jusque dans son camp. Une fois battus, ces peuples; qu'on ne peut conduire malgré eux au combat, seraient moins confiant dans les assurances de Djezzar et peu tentés de se mesurer de nouveau avec les Français. Bonaparte reconnaît les inconvénients d'un combat devant la place d'Acre et se décide à faire attaquer l'ennemi sur tous les points, afin de le forcer à repasser le Jourdain. On arrive de Damas en traversant le Jourdain, soit à la droite du lac de Tabarié, sur, le pont de Jacoub, à trois lieues duquel est situé le château de Saffet; soit à la gauche de ce lac, sur le pont de d'El-Mekanié, à très peu de distance du fort de Tabarié. Chacun de ces deux forts est bâti sur la rive droite du Jourdain. Le 24, le général de brigade Murat part du camp d'Acre, avec mille hommes d'infanterie et un régiment de cavalerie. Il a ordre de marcher à grandes journées sur le pont de Jacoub et de s'en emparer et de prendre en revers l'ennemi qui bloquait Saffet. De se réunir ensuite avec le plus de célérité possible au général Kléber, qui devait avoir en présence de lui des forces considérables. Le général Kléber avait prévenu qu'il partait le 25 pour tourner l'ennemi dans sa position de Fouli et Tabarié, le surprendre et l'attaquer de nuit dans son camp (nuit du 15 au 16 avril 1799). Bonaparte laisse devant Acre les divisions Regnier et Lannes. Il part le 26 germinal, avec le reste de sa cavalerie, la division Bon et huit pièces d'artillerie. Il prend position sur les hauteur de Safarié où il bivouaque. Le 27, au point du jour, il marche sur FouIi, en suivant les gorges qui tournent les montagnes que l'artillerie ne peut traverser. A neuf heures du matin, il arrive sur les dernières hauteurs, d'où, il découvre Fouli et le mont Thabor. On aperçoit, à environ trois lieues de distance, la division Kléber qui était aux prises avec l'ennemi, dont les forces paraissaient être de vingt-cinq mille hommes de cavalelie, au milieu desquels se battaient deux mille Français. On découvre en outre le camp des marneloucks, établi au pied des montagnes de Naplouze à près de deux lieues en arrière du champ de bataille. Bonaparte fait former trois carrés, dont deux d'infanterie et un de cavalerie. Il fait ses dispositions pour tourner l'ennemi à une grande distance, dans l'intention de le séparer de son camp, de lui couper la retraite sur Jenin où étaient ses magasins et de le culbuter dans le Jourdain, où il devait être coupé par le général Murat. La cavalerie se porte avec deux pièces d'artillerie légère, sur le camp des mameloucks. Elle sont commandées par l'adjudant général Leturq. Les deux colonnes d'infanterie se dirigent de manière à tourner l'ennemi. Le général Kléber, qui avait reçu des munitions, quatre pièces de canon et un renfort de cavalerie, était parti le 26 de son camp de Safarié, avait marché au hasard dans l'intention d'attaquer l'ennemi le 27 avant le jour, en quelque nombre qu'il pût être; mais égaré par ses guides, retardé par la dilliculté des chemins et des défilés qu'il avait rencontrés, il n'avait pu arriver, quelque diligence qu'il eût faite, qu'une heure après le soleil levé: de sorte que l'ennemi, prévenu par ses avant-postes de la hauteur d'Harmoun, avait eu le temps de monter à cheval. Le général Kléber avait formé deux carrés d'infanterie et avait fait occuper quelques ruines où il avait placé son ambulance. L'ennemi occupait le village de Fouli avec l'infanterie naplouzaine et deux petites pièces de canon portées à dos de chameaux. Toute la cavalerie au nombre de vingt-cinq mille hommes, environnait la petite armée de Kléber; plusieurs fois elle l'avait chargée avec impétuosité, mais toujours sans succès; toujours elle avait été vigoureusement repoussée par la mousqueterie et la mitraille de la division, qui combattait avec autant de valeur que de sang-froid. (1) Le combat dura une grande partie de la journée du 16 avril 1799. Assoiffés, presque à court de munitions, les soldats de Kléber ne reste pas moins avec une extraordinaire constance aux assauts répétés de la cavalerie Turque. 3000 soldats Français font ainsi face à 25000 hommes, tirant à bout portant, ils lui infligent des pertes importantes. Morts et blessés s'entassent devant les rangs Français au point d'y former un rempart. A 16 heures, Kléber s'aperçoit qu'il est poratiquement parvenu au bout de ses capacités de résistance, sentant poindre la défaite. Il décide de préparer l'abandon de la position en clouant sur place son artillerie et surtout en abandonnant les blessés. Il fait également économiser les munitions. Les Arabes sont euphoriques car ils sentent que la victoire est proche. Ils perçoivent parfaitement que l'artillerie comme l'infanterie ne tire pratiquement plus et que les Français sont à court de munitions et qu'ils ne pourront plus résisiter très longtemps à des charges de cavalerie juste avec leur baïonnette. Mais les Arabes dans leur euphorie on oublié Bonaparte qui arrivé à une demi-lieue de distance du général Kléber, comme un sauveur, fait aussitôt marcher le général Rampon à la tète de la 52e, pour soutenir et dégager Kléber, en prenant l'ennemi en flanc et à dos. Il donne ordre au général Vial de se diriger avec la 18e vers la montagne de Noures, pour forcer l'ennemi à se jeter dans le Jourdain et aux guides à pied de se porter à toute course vers Jenin, pour couper la retraite à l'ennemi sur ce point. Au moment où les différentes colonnes prennent leur direction, Bonaparte fait tirer un coup de canon de douze. Le général Kléber ainsi averti par ce signal de l'approche de Bonaparte, reprend courage et quitte la défensive. Il attaque et enlève à la baïonnette le village de Fouli, passe au fil de l'épée tout ce qu'il rencontre et continue sa marche au pas de charge sur la cavalerie, qui est aussi chargée par la colonne du général Rampon; celle du général Vial la coupe vers les montagne de Naplouze et les guides à pied fusillent les Arabes qui se sauvent vers Jenin. Dans toute l'histoire militaire, il est rare de voir l'infanterie charger à la baïonnette la cavalerie ! Bataille du Mont Thabor le 16 avril 1799 après 16 heures. Le désordre est dans tous les rangs de la cavalerie ennemi; il ne sait plus à quel parti s'arrêter. Il se voit coupé de son camp, séparé de ses magassins, entouré de tous côtés, enfin il cherche un refuge derrière le mont Thabor; il gagne pendant la nuit et dans le plus grand désordre, le pont de El-Mekanié et un grand nombre se noie dans le Jourdain en essayant de le passer à gué. Le général Murat avait, de son côté, parfaitement rempli le but de sa mission. Il avait chassé les Turcs du pont de Jacoub, surpris le fils du gouverneur de Damas. enlevé son camp, et tué tout ce qui n'avait pas fuit. Il a fait debloqué le fort de Saffet et poursuivi l'ennemi sur la route de Damas l'espace de plusieurs lieues. La colonne de cavalerie de l'adjudant-général Leturcq, avait surpris le camp des mamelucks, enlevé cinq cents chameaux avec toutes les provisions et tué un grand nombre d'hommes et fait 250 prisonniers. L'armée bivouaqua au pied du mont Thabor et Bonaparte retourna au siège de Saint Jean d'Acre. | |
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